Arboras

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Arboras
Arboras
Vue sur le village.
Blason de Arboras
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Lodève
Intercommunalité Communauté de communes Vallée de l'Hérault
Maire
Mandat
Marie-Françoise Nachez
2020-2026
Code postal 34150
Code commune 34011
Démographie
Gentilé Arborassiens
Population
municipale
107 hab. (2021 en diminution de 10,83 % par rapport à 2015)
Densité 16 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 42′ 42″ nord, 3° 29′ 08″ est
Altitude 204 m
Min. 137 m
Max. 702 m
Superficie 6,73 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Montpellier
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Gignac
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Arboras
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Arboras
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Arboras

Arboras est une commune française située dans le nord du département de l'Hérault en région Occitanie.

Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le ruisseau de Lagamas, le Rouvignou et par un autre cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : trois sites Natura 2000 (« les contreforts du Larzac », les « gorges de l'Hérault » et les « hautes garrigues du Montpelliérais ») et quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Arboras est une commune rurale qui compte 107 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1968. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier. Ses habitants sont appelés les Arborassiens ou Arborassiennes.

Géographie[modifier | modifier le code]

Arboras est une commune proche de Gignac et Lodève dans l'Hérault. C'est un village-rue perché à flanc de coteau sur les premiers contreforts du Larzac, à une altitude d'environ 400 mètres. Il domine une plaine drainée par l'Avenc, affluent de l'Hérault, largement occupée par les vignes. Sa population dépasse de peu les 100 habitants.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Carte de localisation.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 047 mm, avec 7,5 jours de précipitations en janvier et 3,4 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-André-de-Sangonis à 7,03 km à vol d'oiseau[3], est de 15,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 652,4 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Réseau Natura 2000[modifier | modifier le code]

Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 1]. Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la directive habitats[8] :

  • les « gorges de l'Hérault », d'une superficie de 21 736 ha, entaillent un massif calcaire vierge de grandes infrastructures dont les habitats forestiers (forêt de Pins de Salzman et chênaie verte) et rupicoles sont bien conservés. La pinède de Pins de Salzmann de Saint-Guilhem est une souche pure et classée comme porte-graines par les services forestiers. Il s'agit d'une forêt développée sur des roches dolomitiques[9] ;
  • « les contreforts du Larzac », d'une superficie de 5 299 ha, constituant les premiers reliefs du Larzac qui surplombent le bassin de Lodève. Sa richesse est liée à la conjonction des deux influences caussenarde et méditerranéenne[10] ;

et un au titre de la directive oiseaux[8] :

  • les « hautes garrigues du Montpelliérais », d'une superficie de 45 444 ha, abritant trois couples d'Aigles de Bonelli, soit 30 % des effectifs régionaux[11].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 2] est recensée sur la commune[12] : l'« aval des vallées des ruisseaux du Rouvignous et du Joncas » (339 ha), couvrant 2 communes du département[13] et trois ZNIEFF de type 2[Note 3],[12] :

  • le « causse et contreforts du Larzac et montagne de la Séranne » (44 035 ha), couvrant 33 communes dont une dans l'Aveyron, deux dans le Gard et 30 dans l'Hérault[14] ;
  • le « cours moyen de l'Hérault et de la Lergue » (976 ha), couvrant 22 communes du département[15] ;
  • le « massif des gorges de l'Hérault et de la Buège » (21 342 ha), couvrant 17 communes du département[16].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Arboras est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[17],[I 1],[18].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 2],[I 3].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (79,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (80,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (46,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (32,7 %), cultures permanentes (19,9 %), zones agricoles hétérogènes (0,8 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune d'Arboras est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[20]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[21].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Arboras est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en juin 2013 et court jusqu'en 2022, où il doit être renouvelé. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par deux arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 6],[22].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Arboras.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 52,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59,3 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 86 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 68 sont en aléa moyen ou fort, soit 79 %, à comparer aux 85 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[23],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[24].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1995 et 2019.

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune d'Arboras est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[25].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous la forme Villa de Arboracis, seu de Arboratis dès 804[26], de villa Arboratis en 985[27], villa de Arboratis et Arborath en 1102[27], sous sa forme latine Arborascium en 1124[28], de Arboracio en 1264[27], Arboras en 1529[27].

Arboraç en occitan.

Le nom du village signifie en occitan « arborés, plantés d'arbres », du latin arbor et du suffixe gaulois -àtis, ce qui signifiait peut-être : « ensemble d'arbres »[27].

Histoire[modifier | modifier le code]

Plan de l'école (1914)

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1790 1791 Jean-Baptiste Gay    
1791 1792 André Laroque    
1792 1805 Jean Falguieres    
1805 1811 Jean Cornier    
1811 1830 Etienne Altairac    
1830 1835 Jean Gay    
1835 1849 Guillaume Falguieres    
1849 1863 Jean-Joseph Visseo    
1863 1876 Pierre-Stanislas Molinier    
1876 1888 Sylvain Galibert    
1888 1900 Jean Gazel    
1900 1912 Hippolyte Malroux    
1912 1935 Gaston Galibert    
1935 1947 Joseph Gazel    
1947 1977 Georges Galibert    
1977 1992 Lucien Laures    
1992 1995 Ida Laures    
1995 2014 Jean-Pierre Vanluggene    
mars 2014 En cours
(au 23 mai 2020)
Marie-Françoise Nachez[29] SE Fonctionnaire[30]
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[32].

En 2021, la commune comptait 107 habitants[Note 7], en diminution de 10,83 % par rapport à 2015 (Hérault : +7,29 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
158190201188189179153155150
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
162150164132135123129118111
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1121071019798103938871
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
736982626974848495
2014 2019 2021 - - - - - -
115111107------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et Monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
D'or aux deux arbres de sinople fûtés au naturel posés à dextre du chef et à senestre de la pointe, et aux deux épées d'argent garnies de gueules passées en sautoir à senestre du chef et à dextre de la pointe ; au chef abaissé d'azur chargé de trois étoiles du champ.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[7].
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Arboras et Saint-André-de-Sangonis », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « St Andre De Sangonis » (commune de Saint-André-de-Sangonis) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « St Andre De Sangonis » (commune de Saint-André-de-Sangonis) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  8. a et b « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Arboras », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  9. « site Natura 2000 FR9101388 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  10. « site Natura 2000 FR9101387 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  11. « site Natura 2000 FR9112004 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  12. a et b « Liste des ZNIEFF de la commune d'Arboras », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. « ZNIEFF l'« aval des vallées des ruisseaux du Rouvignous et du Joncas » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « ZNIEFF le « causse et contreforts du Larzac et montagne de la Séranne » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « ZNIEFF le « cours moyen de l'Hérault et de la Lergue » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. « ZNIEFF le « massif des gorges de l'Hérault et de la Buège » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  17. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  20. « Les risques près de chez moi - commune d'Arboras », sur Géorisques (consulté le ).
  21. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  22. « Les risques majeurs dans l'Hérault », sur herault.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  23. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  24. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Arboras », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  25. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  26. Dans le cartulaire de Gellone.
  27. a b c d et e Ernest Nègre - Toponymie générale de la France - Page 164 - (ISBN 2600028838).
  28. Dans le cartulaire d'Anian.
  29. Résultats au 1er tour des élections municipales et communautaires 2020 d'Arboras, publié sur le site du ministère de l’Intérieur (consulté le ).
  30. Fiche de la mairie d'Arboras, mise à jour le sur le site mon-maire.fr (consulté le ).
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. a et b « Eglise paroissiale Saint-Laurent », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Alphonse Delouvrier (abbé), Histoire de la vicomté d'Aumelas et de la baronnie du Pouget, Montpellier, impr. de L. Grollier père, , XI-350 p. (lire en ligne)
  • André Soutou, « Les moulins et le monna d'Arboras », Bulletin du GREC, Groupe de recherches et d'études du Clermontais, s.l., s.n.,‎ , p. 49-54
  • Paul Fabris et Jean Reilhan de Carnas, « Demeures des Bozène et des Palissa à Clermont l'Hérault : seigneurs d'Arboras et les autres de 1500 à 1990 », Bulletin du GREC, Groupe de recherches et d'études du Clermontais, nos 78-79-80,‎ , p. 21-27
  • Claude Alberge, « Une jacquerie en pays d'Hérault en juin 1791 : le sac des châteaux d'Arboras et de Montpeyroux », Études héraultaises, Montpellier, Association Études sur l'Hérault, nos 5-6,‎ 1989-1990, p. 145-150 (lire en ligne)

Fonds d'archives[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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